VAUX-LE-PÉNIL DOIT RESTER VAUX-LE-PÉNIL

Madame Beaulnes-Sereni, si j’en crois ce que vous écrivez aux Pénivauxois, Monsieur Henri de MEYRIGNAC ne représente plus les majorités municipales que j’ai animées pendant 23 ans de 1989 à 2012. Sachez, Madame, que malgré cette remarque surprenante, je vais voter pour la liste qu’il conduit.
En effet, contrairement à vous, je me félicite que la liste « Vaux-le-Pénil : Notre bien commun coordonnée par Julien Guerin ait décidé de fusionner avec celle de Monsieur Henri De Meyrignac. Face aux contraintes qui vont peser sur les communes, il était primordial que se rassemblent toutes les forces progressistes de notre ville.
Les candidats issus de la liste Vaux-le-Pénil : Notre bien commun vont apporter au conseil municipal un dynamisme nouveau pour une commune plus ouverte sur l’enfance, la jeunesse, la culture et le sport mais aussi plus solidaire, engagée pleinement dans la transition écologique et la démocratie participative.
Connus de nombreux Pénivauxois pour leur engagement associatif, c’est leur dynamisme et la sincérité de leurs convictions qui leur a valu de créer la surprise du premier tour avec un important courant de sympathie en leur faveur. Les Pénivauxois, et pas seulement les 27,6% qui ont voté pour eux, ne peuvent ainsi que désapprouver vos accusations d’extrémisme. En l’occurrence c'est vous qui apparaissez comme extrémiste et je le regrette très sincèrement pour la qualité du débat démocratique.
Vous venez de diffuser deux tracts à une semaine d’intervalle. Ils ne contiennent que critiques acerbes et attaques gratuites et ne font aucune proposition concrète. Ma première candidature aux élections municipales à Vaux-le-Pénil remonte à 1977.
Durant ces 43 ans, j’ai connu des campagnes tourmentées mais je n’ai jamais vu une telle virulence. J’ai beau lire et relire vos tracts, je n’y trouve pas la moindre suggestion sur le devenir de Vaux -le-Pénil.
Je n’y vois que haine et violence verbale. Critiquer sans rien proposer est un manque de respect pour les citoyens. C’est la volonté délibérée de chercher à détruire l’adversaire.
Vaux-le-Pénil, ce n'est pas çà.
VAUX-LE-PÉNIL DOIT RESTER VAUX-LE-PÉNIL. On s’oppose, on s’affronte vivement si c’est nécessaire, mais c’est le devenir de la ville qui est au centre des débats. On se respecte. L'adversaire n'est pas un ennemi à abattre, c'est un concurrent.
Je souhaite vivement, comme sans doute de très nombreux Pénivauxois, que le débat d'idées retrouve toute sa place.
Pierre CARASSUS, Maire honoraire de Vaux-le-Pénil
En effet, contrairement à vous, je me félicite que la liste « Vaux-le-Pénil : Notre bien commun coordonnée par Julien Guerin ait décidé de fusionner avec celle de Monsieur Henri De Meyrignac. Face aux contraintes qui vont peser sur les communes, il était primordial que se rassemblent toutes les forces progressistes de notre ville.
Les candidats issus de la liste Vaux-le-Pénil : Notre bien commun vont apporter au conseil municipal un dynamisme nouveau pour une commune plus ouverte sur l’enfance, la jeunesse, la culture et le sport mais aussi plus solidaire, engagée pleinement dans la transition écologique et la démocratie participative.
Connus de nombreux Pénivauxois pour leur engagement associatif, c’est leur dynamisme et la sincérité de leurs convictions qui leur a valu de créer la surprise du premier tour avec un important courant de sympathie en leur faveur. Les Pénivauxois, et pas seulement les 27,6% qui ont voté pour eux, ne peuvent ainsi que désapprouver vos accusations d’extrémisme. En l’occurrence c'est vous qui apparaissez comme extrémiste et je le regrette très sincèrement pour la qualité du débat démocratique.
Vous venez de diffuser deux tracts à une semaine d’intervalle. Ils ne contiennent que critiques acerbes et attaques gratuites et ne font aucune proposition concrète. Ma première candidature aux élections municipales à Vaux-le-Pénil remonte à 1977.
Durant ces 43 ans, j’ai connu des campagnes tourmentées mais je n’ai jamais vu une telle virulence. J’ai beau lire et relire vos tracts, je n’y trouve pas la moindre suggestion sur le devenir de Vaux -le-Pénil.
Je n’y vois que haine et violence verbale. Critiquer sans rien proposer est un manque de respect pour les citoyens. C’est la volonté délibérée de chercher à détruire l’adversaire.
Vaux-le-Pénil, ce n'est pas çà.
VAUX-LE-PÉNIL DOIT RESTER VAUX-LE-PÉNIL. On s’oppose, on s’affronte vivement si c’est nécessaire, mais c’est le devenir de la ville qui est au centre des débats. On se respecte. L'adversaire n'est pas un ennemi à abattre, c'est un concurrent.
Je souhaite vivement, comme sans doute de très nombreux Pénivauxois, que le débat d'idées retrouve toute sa place.
Pierre CARASSUS, Maire honoraire de Vaux-le-Pénil
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